La crise sanitaire a démultiplié les problématiques aggravant à la fois la précarité financière mais aussi le décrochage et la détresse psychologique des jeunes. Pour les étudiant.es, les lycéen.nes, les jeunes travailleur.ses, les privé.es d’emploi, la situation est alarmante et gravissime.
Le plan gouvernemental « 1 jeune, 1 solution » ne changera pas radicalement la donne ni ne suffira pas à assurer un avenir professionnel sécurisé et de qualité.
Avec cette pandémie, la précarité étudiante se traduit par des difficultés à se nourrir, à subvenir à leurs besoins, tels que payer leurs loyers, etc. qui cumulées à l’isolement imposé par la fermeture des lieux d’études et l’absence de perspective d’un avenir serein se traduit par de la désespérance.

Plusieurs organisations de jeunesse appellent à une journée de mobilisations le 16 mars. Leurs revendications
expriment une volonté de renforcer notre système social de solidarité, seul à même, d’assurer des perspectives de progrès social.
Des moyens humains et matériels sont aussi légitimement exigés, par les lycéen.nes et étudiant.es pénalisé.es depuis plusieurs mois par la mauvaise gestion gouvernementale de la crise sanitaire et par les défaillances et carences du système éducatif.

 

Nos organisations syndicales apportent un soutien indéfectible à la jeunesse mobilisée
pour son avenir le 16 mars prochain.

 

 

Communiqué unitaire pour le soutien à la jeunesse – 11 03 2021